| Mademoiselle Sarah GINGUENÉ Quel déchirement d’apprendre que tu n’es plus là, toi ma meilleure amie, ma confidente, ma soeur de cœur, mon pilier, ma moitié..... Je n’accepte pas, je refuse. Le vide que tu laisse est d’une violence que je n’avais jamais rencontré jusqu’alors, et comment affronter cela maintenant sans toi, inconsevable.... Si les autres savaient, je l’avais compris, pourtant si fragile, je n’oublierai jamais que tu m’as sauvé, sans toi je n’y serai jamais arrivér. Et moi je n’étais pas là, je m’en veux tellement si tu savais, pardonne moi. Ces regrets si douloureux, une plaie vive..... Manger, dormir, quel sens, ton visage me hante, tant de magnifiques souvenirs, de partages m’envahissent, et soudain se transforment en tortures quand je réalise que je ne les partagerai plus jamais avec toi. Mes yeux ne cessent de saigner ton envole petit ange. Une connaissance, la solitude, et je comprends que je n’avais pas vu à quel point la souffrance et la mort d’habitaient, pardon....Ton absence me semble insurmontable à l’instant, si seulement le pouvoir de remonter le temps existait, je ne l’ai jamais autant implorer, pour sentir à nouveau le parfum d’être à tes côtés. Mais tu n’es plus là, je vomis l’idée de ton envole. Ton absence, tu me manques si terriblement, notre partage était finalement si précieux. Au fond nous deux si semblables que la douleur est telle à ce que l’on m’arrache la moitié de moi, un mal vif de te perdre. Torture jamais ressentie jusqu’à présent, sombrer....tu me manques viscéralement. Ma meilleure amie est partie, vol petit ange....mais voilà, ce que je dois surmonter et sans toi à présent, invivable. JE T’AIME
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